Ivory Elenwë
« Tout nouveau, tout frais, à croquer !! »
♦ Age du Joueur : 30 ♦ Messages : 2 ♦ Inscrit le : 15/02/2011 ♦ Exp : 4838 | Sujet: Miss Ivory Mar 15 Fév - 20:41 | |
| Miss Ivory ElenwëElfe ~ C.C. Code Geass
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Morceaux de Vie
♦ Prénom(s) ou surnoms: Miss Ivory ou plus simplement Ivy ♦ Âge: 26 ans / 26 ans en apparence ♦ Civilité: Célibataire ♦ Statut Social: Sang-mêlé, fille d'un père sang pur et d'une mère sorcière ♦ Famille: orpheline désormais fille adoptive du roi dont elle est la nièce ♦ Pouvoir : Prémonition : ce pouvoir se manifeste par des visions brèves de l'avenir. Ivy ne les contrôlent pourtant absolument pas. Ces visions peuvent être très floues ou au contraire nettes, représenter des personnes connues ou de parfaits inconnus. ♦ Travail: / ♦ Traits Physiques: - Spoiler:
De longs cheveux verts qui reflètent la nature. De magnifiques yeux bruns qui en charmeraient plus d'un. Ivy est une jeune elfe au plus près de la et de sa nature . Telles les feuilles volent au vent elle se plait à laisser sa chevelure se mêler à la brise. Même si l'on peut voir, au premier abord, la candeur enfantine dans ses yeux, il n'en est rien quand vous l'observez de plus près, et c'est bien la séduction et la passion que vous y apercevrez. On peut cependant remarquer en elle le métissage dont elle est issue par la rondeur de ces traits, le mystère qui plane sur elle, elle a en elle comme une force dont on ignore la provenance, cette force quelque peu magique. Cela pourrait également venir de son pouvoir de prémonition, qui sait. Son corps est fin et élancé, comme une fragile brindille, mais cela n'est qu'apparence, en réalité elle est plus forte qu'elle n'y paraît, enfin c'est plutôt ce qu'elle veut prétendre.
C'est une jeune fille très séduisante et elle ne cesse d'user de son charme, elle cache sous un masque enfantin une très grande féminité qu'elle s'efforce de faire ressortir en temps utiles. Dotée d'une poitrine généreuse, ce trait trahit souvent son âge, plus avancé qu'on ne pourrait le croire au premier regard. Ces grands yeux bruns, sont, en effet, plus ceux d'une enfant innocente et pure que ceux de la femme qu'est vraiment Ivory. Ou ne serais-ce pas plutôt ce tout qui fait d'elle une femme si séduisante.
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Fragments d'Esprit
♦ Psychologie: - Spoiler:
Peste ? Crétine ? Gamine ? Oui ce sont peut-être des adjectifs qui pourraient la décrire mais elle ne se plait pas vraiment à les utiliser pour se décrire. C'est plutôt logique mais il intéressant de savoir que la petite Ivory à beau paraître tout ce que vous voulez, cela sera seulement du paraître et rien de plus, voilà toute l'ambiguïté du caractère de la jeune femme. Elle aura beau feindre l'innocence, feindre la bêtise et l'incompréhension elle ne fera que les feindre et cela dans un but bien loin d'être humble : vous utiliser. Oui ce qui est sur, c'est qu'Ivory est manipulatrice, voir très manipulatrice c'est même ce qu'elle adore faire : manipuler. Elle se plait à renverser les situations à son avantage et déteste perdre ou ne pas être le centre de l'attention du monde entier. Elle se plait à faire tous les caprices du monde pour obtenir ce qu'elle veut, et elle l'obtient d'ailleurs très souvent, c'est pour ça qu'on la dit parfois puérile. Oui, c'est peut-être vrai en quelque sorte. Ivory préfère parfois rester en enfance mais elle est bien loin d'être innocente. Quelque peu volage, elle se balade d'homme en homme et aime les faire tomber entre ses griffes par une mise en scène de jeune fille apeurée et perdue. Loin d'elle de montrer ces petits artifices au monde entier, non elle cache ces petits défauts, par respect, bien sur et par pour n'importe qui. Elle respecte profondément son père et c'est pourquoi elle cache ses petites habitudes mondaines.
De toute manière, au fond Ivy est loin d'être une jeune femme bourrée de défauts, elle peut se montrer extrêmement affective et sensible mais elle le cache. Elle préfère passer pour une idiote plutôt pour qu'une femme trop sensible, pour elle signe de faiblesse. Elle cache ses véritables sentiments pour le roi, et aime jouer au jeu du chat et de la souris avec lui. Bien sur ceci n'est qu'une façade, en réalité elle rêverait de pouvoir vivre son amour au grand jour, ou au moins que celui-ci soit partagé mais elle se contente de l'excitation que lui procure ces sentiments interdits. Ivy adore jouer avec le feu, et s'y brule d'ailleurs bien souvent. Elle aime braver les interdits, ne pas être dans la norme et transgresser les traditions trop ancrées. C'est peut-être juste une petite fille perdue et sans espoir comme le dise certains, mais si c'est le cas alors elle s'en contente. Son seul but est de vivre, profiter au maximum de la vie et des plaisirs qu'elle peut lui offrir et cela même si elle doit se servir des autres pour cela. Enfin d'autant plus si elle doit se servir des autres. On ne peut pas vraiment dire qu'elle soit amicale ou accorde un quelconque intérêt à ce qui relève de l'amitié ou de l'amour, sauf celui qu'elle ressent pour son oncle, mais cela elle essaye souvent de le faire passer pour une de ces nombreuses transgressions des interdits. Qui sait ce qui peut se passer dans sa tête, mais ce qui est sur c'est qu'elle vit toujours seule dans on cœur bien qu'elle soit sans cesse entourée.
Certains pourraient penser que la mort de ses parents ne l'a pas affectée, certaines rumeurs disent même que c'est elle qui les auraient tués, elle n'y prête absolument pas attention. C'est sur elle ne se préoccupe pas du jugement des autres, elle s'aime bien trop pour ça. La mort de ses parents l'a en effet bien plus touchée qu'elle ne veut le faire croire. Le seul homme qu'elle respecte est son père, les autres sont des jouets, et même si son oncle a une place plus importante que les autres dans son cœur il ne remplacera jamais son père. Elle reste d'ailleurs très secrète concernant les circonstances exactes de la mort de ses parents et se refuse d'en parler même à son oncle, qui est pourtant arrivé peu de temps après le massacre. Elle a été profondément choquée par leur mort et son choix de vie en vient peut-être de là. Ivy à choisi de vivre pleinement la vie avant que la mort ne l'emporte, et cela sans qu'elle s'y attende, comme elle a emporté ses parents.
Déjà enfant elle était fofolle, capricieuse et un peu nunuche sur les bords. Tout aurait pu changer le jour de la mort de ses parents mais elle a voulu rester elle-même, voir se caractériser encore plus ainsi, pour leur montrer qu'elle allait vivre pour eux. Il est vrai qu'elle aime d'autant plus son mode de vie, et n'en changera pas de si tôt, en tout cas pas de son plein gré. Pour l'instant elle cache quelque peu sa frivolité à son oncle mais elle sait qu'il a bien du s'en rendre compte, même s'il ne dit rien. En bref elle ne se cassera pas la tête avec les règles de si tôt.
♦ Passé: - Spoiler:
Par où commencer ? Très bonne question ! Mon enfance ? Cela semblerait logique mais je préfère de loin oublier ces moments. De la souffrance ? Oui, quelque peu. De la tristesse ? Je me souviens avoir versé des larmes. De la joie ? Surement mais mon sourire n'est véritablement apparu qu'au crépuscule de ma nouvelle vie. Alors que pourrais-je conter. Le jour de ma naissance, je pourrais toujours commencer par là, oui tout semble logique, commencer par le jour où une petite sang-mêlé à vu le jour, une petite sang-mêlé à la chevelure verte, moi. Ivory Elenwë, fruit d'un amour profond entre un elfe et une sorcière, fruit d'une union rare, mais dont le produit ne fut pas si exceptionnel que cela. Je n'ai que des souvenirs très flous des premiers instants de ma vie, des bribes, des souvenirs crées par ce qui m'a été raconté. Je n'y entrevoit en tout cas qu'une vie simple, malgré le statut de mon père, une vie cachée, une vie loin des autres, comme prisonnière d'une bulle trop idyllique et qui ne pouvait finalement pas rester éternellement fermée au monde extérieur. Oui c'est ainsi que j'ai vécu les premières années de ma vie, comme prisonnière d'un trop plein de bonheur. Je n'étais ni avide de liberté, ni ne souhaitait autre chose, j'étais l'unique fille de deux êtres qui avaient décidé de vivre en retrait du monde, pour des raisons personnelles mais pas seulement et je devais m'en contenter. A l'époque j'aimais taquiner mes parents, je me plaisais à faire quelques bêtises, comme les enfants de mon âge mais seulement je restais éternellement seule et en souffrais quelque peu. Je me souviens extrêmement bien de ce sentiment de solitude, de cette avidité que je ressentais en voyant le autres enfants rire entre eux autour de moi. Je n'étais pas comme les autres, et cette différence, ce métissage, qui ne m'avais jamais posé le moindre problème auparavant commençait à me peser, à me peser plus que tout. Malgré cela je n'en voulais en rien à mes parents qui avaient toujours été là pour moi, toujours mes protecteur aimants et tout autant victimes de leur amour que moi.
Ma petite vie avait donc bien et mal commencée, c'était à double tranchant, du positif, du négatif mais je m'efforce à ne me rappeler que ce qu'il y a eu de bien. Car ma vie ne s'est pas poursuivie dans la joie, loin de là au contraire. Je me rappelle clairement de cette belle après-midi de printemps. Le temps était magnifique, les oiseaux chantaient, la nature était resplendissante, c'était un jour ordinaire au pays de notre bonheur parfait mais trop éphémère hélas. J'étais alors âgée de 16 ans, les belles années de ma vie démarraient à peine, ou auraient du en tout cas démarrer. Ce jour-là je m'étais absentée, j'avais pris la fuite, comme toujours, j'étais lasse d'être prisonnière de ce petit monde de paix. Je m'étais enfuie auprès de mon oncle, je trouvais toujours le réconfort touchée par son sourire. J'aimais toujours lui parler de moi et me délectait à le voir m'écouter attentivement, sans rien dire. Je trouvais à ses cotés une identité, une appartenance, qui me faisait me sentir elfe avant sorcière. Je n'avais jamais rien voulu avoir à faire avec cette race, je ne les appréciais guère, je ne peux vraiment dire pourquoi mais il faut croire que mon oncle y était un peu pour quelque chose, je me sentais si proche de lui que je me sentais automatiquement attirée vers sa race et vers ce coté de ma nature. En tout cas, ce jour-là j'avais laissé seuls mes parents. Même habitués à mes fuites régulières ils restaient inquiets, il fallait croire qu'il me voyait plus importante que je ne l'étais réellement. Tous les jours je me dit que j'aurais du être là, que je n'avais pas le droit de les laisser. Mais je me dit aussi que je ne peux pas vivre triste éternellement et qu'il me faut vivre plus heureuse encore pour honorer leur mémoire, pour qu'ils soient heureux de me voir heureuse. Voilà le but de ma vie, le seul et unique depuis leur mort. Je revois leurs corps étalés, je revois le sang couler, le criminel s'échapper, et moi, moi immobile, sans force ni volonté, sans pouvoir rien faire. Mon oncle, à mes cotés, a essayer en vain d'attraper le meurtrier mais il s'échappa. Pourquoi ils furent massacrés et par qui ? Je ne le sut jamais, jamais je ne put connaître les réponses à mes questions. Au début tout cela me pesait, je ne pouvais me résoudre à être sans cesse dans l'inconnu dans les questions sans réponses. Mais je fini par m'y faire, je fini surtout par me rendre à l'évidence. Il fallait que la vie continue, c'était nécessaire et parfois je me dit que celle que je mène aujourd'hui m'apporte bien plus que celle que je menais par le passé.
Mon oncle me recueillis après cela. Il avait vu la scène de leur mort, il savait mais n'en parlais jamais, il acceptait le fait que je ne veuille dévoiler les circonstances de leur mort, il n'y avait pas grand chose à dévoiler de toute manière. Au début ce fut difficile de m'habituer à ma nouvelle vie, j'avais une toute nouvelle famille, qui était en tout point différente de celle que j'avais eu précédemment. J'avais aussi une nouvelle vie, un nouveau but. Tout était nouveau en vérité. Même moi j'avais tant changer que je me reconnaissais à peine. Je crois que j'avais pris conscience de ce qu'était la vie et à quel point elle ne tenait qu'à un fil. Je voulais profiter ainsi de tous les moments qu'elle m'offrait. C'est petit à petit, au cours de cette nouvelle vie plus tranquille que je devint celle que je suis aujourd'hui. Je renie et reniais ma double nature, en ne me vantant que d'être la fille adoptive du roi. Je ne veux pas renier mes parents de la sorte, c'est juste que c'est un poids trop lourd à porter, alors je m'en décharge. Je joue un rôle pour oublier les souffrances, je joue un rôle que j'aurais tant voulu endosser pour de bon. On me pourrait me dire fausse mais je ne le suis en rien. Non je préfère simplement croire que je suis plus vraie que la plupart des personnes qui peuplent ce monde, je ne me ment pas à moi-même au moins, simplement aux autres. Je me suis rapprochée de plus en plus de mon oncle. Je crois que mon nouveau caractère m'a autorisée à me dévoiler des sentiments que je ressentais depuis bien longtemps. Malgré la différence d'âge, malgré le lien de parenté, malgré l'interdit. Oui, car maintenant l'interdit ne me ferais plus peur, je me séparerais définitivement de cette vie sans intérêt, de cette vie trop parfaite, que j'avais menée pendant des années. C'est pourquoi je cours et j'ai couru d'hommes en hommes, sans me trouver d'attache, sans chercher l'amour, que je ne comprenais pas vraiment, ou qu'à travers cet oncle qui restait de toute façon inaccessible.
Aujourd'hui, je vis toujours de la même façon, je vis dans l'interdit, dans la luxure, qui si je m'y attardait, serait mon plus grand pêché. Mais tout ceci m'importe trop peu. Pourquoi s'attarder à être sérieux quand la mort peut tout vous prendre. Pourquoi vouloir vivre de manière trop parfaite, quand transgresser l'interdit procure bien plus de plaisir. Voilà tout ce qui fait ma vie aujourd'hui. Je me réjouis de tout ce dont je peux me réjouir. Mais malgré tout cette vie m'a apporté bien des ennemis, et ma relation secrète avec mon cousin, m'a fait rejeté ma cousine, et me frotter à de trop gros interdits. Mais je m'en fiche complètement et à vrai dire je m'en réjouis plutôt. J'aime toujours autant, voir plus encore, jouer avec le danger, me frotter de plus en plus près aux interdits. Mais voilà je garde tout ça bien secret et je sais faire bonne figure, et heureusement. Je ne voudrais pas entacher l'image de la famille royale. Car qu'on en dise j'en fait partie et c'est d'ailleurs ma plus grande fierté. Je dois le respect à mon père qui m'en a fait l'héritage et c'est pourquoi je ne peux me laisser aller à laisser entrevoir ma vie au public. Je vis dans le secret, le double, comme toujours, mais je ne sais pas si je pourrais vivre longtemps ainsi ou si je devrais bientôt rendre des comptes.
Reflet de la Réalité
♦ Toi en quelques mots: J'ai 17 ans, je suis une fille, mon petit nom c'est /SBAFF/ non mais bon voilà quoi appelez moi tari si vraiment vous voulez me nommer XD Je suis quelque peu folle, mais il ne faut pas vous en inquiétez j'aime parler bizarrement. Je suis fan de mangas, cosplay et ce qui s'en suit ... (GEEK), non, non il ne faut pas fuir, sinon je vais vous frappez, vous maltraitez, vous massacrez … * part dans des divagations incompréhensibles * ♦ Mais comment t'es tu retrouvé ici ? par un partenariat ♦ Teresys te plaît ? Je suis une grande fan du design, de la présentation générale et du choix important de prédef (aime les prédefs). En plus l'organisation des forums en onglets c'est bien pratique je trouve ^^ ♦ J'imagine que tu as lu le règlement ? AI admin-sama ! ♦ Dans ce cas tu as ce cher code magique ♥ : Oké de Yoru /o/
Je me suis permise de développer un peu le pouvoir de prémonition qu'elle possède, vu que rien n'était précisé à ce sujet dans la fiche de prédéfinis, j'espère que c'est bon, sinon je changerais ^^
Dernière édition par Ivory Elenwë le Mar 22 Fév - 19:45, édité 1 fois |
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Yoru
« Pervers, ivrogne et torturé ! »
♦ Age du Joueur : 26 ♦ Messages : 704 ♦ Inscrit le : 30/07/2010 ♦ Exp : 5236 | |